Sous pression pour faire appel au Fonds européen de stabilisation financière (FESF), afin que celui-ci rachète de la dette espagnole et fasse baisser ses taux d'intérêt dangereusement élevés, le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy (à gauche) cherche à gagner du temps. En Italie, son homologue Mario Monti (à droite), confronté au même problème, répète que son pays n'aura pas recours au FESF.
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