Lors d’un débat au Parlement européen le 18 février, le président de la Banque centrale, Mario Draghi, a fait savoir aux pays qui en bénéficient qu’ils pouvaient “redéfinir” leur programme d’ajustement, dans les limites financières qui ont été convenues. Un discours qui écarte toute possibilité pour le Portugal de recevoir des fonds additionnels.
A quelques jours du début des travaux de la troïka sur le Portugal, António José Seguro, le chef du principal parti d’opposition (PS, socialiste), a envoyé une lettre aux trois institutions - BCE, Commission européenne et FMI - pour leurs demander d’évaluer l’état réel du pays, plutôt que de se cantonner aux termes de l’accord de sauvetage.
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