Selon des sources devait quitter l’Union européenne” après un vote en ce sens lors du référendum que le gouvernement de Londres envisage d’organiser en 2017.
Des personnes proches de ces banques ont confié au quotidien de la City qu’elles
considéraient que l’Irlande serait un endroit favorable pour certaines de leurs activités si elles devaient quitter le Royaume-Uni. Une d’entre elles a affirmé être déjà en train d’organiser la délocalisation de certaines activités en Irlande. Ces personnes ajoutent que les projets sont encore à leur phase initiale, mais elles ont ajouté que les banques ont commencé à anticiper l’union bancaire qui se dessine dans la zone euro et qui menace d’isoler le Royaume-Uni.
D’après La Tribune, “Nouvelle terre d'accueil, l'Irlande serait attractive pour son faible niveau d'imposition”. Dans le cas d’un éventuel “Brexit”,
malgré le coût très élevé d'un éventuel transfert des activités d'une ville à une autre, Francfort et Paris représenteraient également des solutions de repli pour les établissements financiers non européens sur le Vieux Continent.
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Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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