L’école multiethnique n’est plus prioritaire

Publié le 7 février 2011

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"Le gouvernement accepte les écoles noires", c'est-à-dire des écoles qui comptent une majorité d'élèves issus de l'immigration,titre le Volkskrant. Jusqu'à présent dans les grandes villes néerlandaises, les parents ont l'obligation de scolariser leurs enfants dans leur quartier, ce qui favorise la mixité ethnique à l'école. Or dans un entretien au quotidien, la ministre de l’Education, Marja van Bijsterveldt explique que le gouvernement n'a plus pour principale priorité la lutte contre la ségrégation scolaire. La ministre chrétienne-démocrate assure que le critère principal sera désormais "la qualité de l’enseignement. Qu'il soit blanc ou noir n'est pas le plus important". Cette position, note le Volkskrant, est un "changement significatif" dans la politique multiculturelle néerlandaise.

Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.

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