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"Des inondations comme celles de 2008 ont lieu tous les 150 ans, des inondations comme celles de 2010 se produisent une fois tous les 200 ans", constate Gândul. Cette montée exceptionnelle des eaux a déjà causé la mort d’au moins 25 personnes. Alors que le pays est confronté à de graves difficultés financières, le coût des dégâts de ces inondations pourrait, selon le gouvernement, dépasser 0.6% du PIB.
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Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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