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C’est "l'appel de l'Europe", titre la Libre Belgique. "Van Rompuy, premier favori pour la présidence de l'UE", s'enthousiasme De Morgen. Les presses flamande et francophone titrent à l’unisson sur le Premier ministre belge, dernier favori en date pour le poste de président de l'UE. "Il existe un consensus autour de son nom, ce qui est rare à vingt-sept", croit savoir Le Soir, qui note que le chrétien-démocrate flamand est l'homme de compromis idéal pour le poste. Mais la presse y voit un risque pour la Belgique. Car Van Rompuy est "un évident et incontournable facteur de stabilité" pour le Royaume. Confrontée à une grave crise institutionnelle et politique, la Belgique a trouvé en lui "un capitaine". Voilà pourquoi "le bon sens belge et l’instinct de conservation commandent très sérieusement de ne pas le voir désigné [au] poste prestigieux [de la présidence de l'UE]", conclut La Libre Belgique.
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Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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