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A cinq jours du second tour de l'élection présidentielle, les deux candidats, Miloš Zeman et Karel Schwarzenberg, passent à l’attaque. Zeman reproche au “Prince” d’avoir une épouse autrichienne donc germanophone, et de “défendre les Allemands des Sudètes”.
En réponse, Schwarzenberg accuse le président sortant Václav Klaus, qui a apporté son soutien à Zeman, de vouloir recréer la même système de pouvoir que celui qui, dans les années 2000, a permis à la corruption de s’étendre dans le pays.
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