La France fait marche arrière sur l'armement des rebelles syriens.
Lors d'un entretien à la télévision, François Hollande a déclaré qu'"il ne peut pas y avoir de livraison d'armes" aux rebelles syriens "s'il n'y a pas la certitude que ces armes seront utilisées par des opposants légitimes et coupés de toute emprise terroriste". "Pour l'instant, nous ne l'avons pas, cette certitude", a-t-il ajouté.
Lors du Conseil européen des 14 et 15 mars, le président français et le Premier ministre britannique David Cameron, avaient appelé à une levée de l'embargo sur les armes à destination de la Syrie. Une mesure à laquelle plusieurs pays, en particulier l'Allemagne, sont opposés.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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