La France fait marche arrière sur l'armement des rebelles syriens.
Lors d'un entretien à la télévision, François Hollande a déclaré qu'"il ne peut pas y avoir de livraison d'armes" aux rebelles syriens "s'il n'y a pas la certitude que ces armes seront utilisées par des opposants légitimes et coupés de toute emprise terroriste". "Pour l'instant, nous ne l'avons pas, cette certitude", a-t-il ajouté.
Lors du Conseil européen des 14 et 15 mars, le président français et le Premier ministre britannique David Cameron, avaient appelé à une levée de l'embargo sur les armes à destination de la Syrie. Une mesure à laquelle plusieurs pays, en particulier l'Allemagne, sont opposés.