Sur le rateau : "Corruption", "Islam", "Intimidation", "Censure". Sur la hallebarde : "Démocratie".
Le 11 juin, douze jours après le début des protestations à Istanbul contre la destruction du parc Ghezi et plus généralement, contre la politique du gouvernement de Recep Tayyip Erdoğan, le Premier ministre turc a ordonné à la police de faire évacuer la place Taksim où se concentraient les manifestants.
Le même jour, Erdoğan annonçait la mort, à Ankara, d'un quatrième manifestant depuis le début de la contestation, mais il a démenti les allégations des médias turcs selon lesquels ce dernier aurait été tué par un policier.
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