"Roumanie, le grand bordel" : ainsi Academia Caţavencu résume le "scandale" de l'été. Le logo élaboré par l’agence de publicité espagnole THR pour l’image de marque de la Roumanie suscite en effet la polémique en raison de son coût pour le contribuable (900 000 euros) et pour son manque d’originalité : la feulle verte censée accompagner le slogan "Explorez le jardin des Carpates" aurait en effet déjà déposée ailleurs il y a deux ans. À la Une du magazine, cette même feuille couronne une pomme truffée de vers de terre représentant autant de personnalités politiques qui s’accordent pour dire qu’"il y a quelque chose de pourri en Roumanie".
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Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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