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Les policiers afghans formés par l'armée néerlandaise le disent en Une du Volkskrant : "Nous voudrions nous battre contre les Talibans". Les gardiens de la paix interrogés par le quotidien "ne comprennent rien à la mission néerlandaise". Fin janvier, l’opposition de gauche avait donné son feu vert au gouvernement néerlandais pour une nouvelle mission en Afghanistan, afin d’aider le pays à se sécuriser et se reconstruire. Les Verts avaient alors posé comme condition à leur aval que soit inscrit noir sur blanc, dans le contrat signé avec les Afghans, la nature précise de la mission néerlandaise : "Une formation de police civile et non d’une police de combat". Or les policies afghans expliquent au Volkskrant qu'ils n'ont "pas besoin d’une police qui n’arrête que les petits voleurs et patrouille dans les rues. Ici, c’est la guerre". Selon eux, l’armée afghane "ne s’en sort pas", la police "devra combattre".
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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