La volonté du président syrien Bachar El-Assad de mettre un terme à la répression de la révolte dans son pays à partir du 10 avril, conformément au plan de paix de l'ancien secrétaire général de l'ONU Kofi Annan, est mise en doute par la communauté internationale. Le Royaume-Uni s'est dit prêt à porter l'affaire devant le Conseil de sécurité des Nations unies, voire devant la Cour pénale internationale.
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