La Cour constitutionnelle roumaine a rejeté, le 27 février, le statut des sénateurs et députés voté en janvier à l’initiative de l’USL, la coalition au pouvoir.
La loi adoptée par les parlementaires leur permettait d’ignorer les décisions de l’Agence nationale d’intégrité (ANI) quand elles les concernent, en particulier dans les cas de conflits d’intérêt.
Le président Traian Băsescu, en conflit avec l’USL, a salué la décision de la Cour par un “Yes !” . Le Parlement devra adopter un nouveau statut de ses membres en conformité avec la décision de la Cour.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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