Les choix économiques démocratiques passent par une union politique

Publié le 22 mars 2015

Luigi Zingales écrit dans Il Sole 24 Ore que la nature d'extrême gauche de Syriza ne doit pas détourner l'attention du traitement injuste de la Grèce. Le FMi l'aurait sûrement mieux traitée que la Troïka.

Le problème, ce n'est pas l'Allemagne, ni la Grèce : ce sont les fondations politiques de l'UE. C'est une union monétaire, pas politique, où les décisions économiques ne peuvent pas êtres prises de manière démocratique et qui finissent par être la proie des intérêts particuliers des pays les plus puissants.

Vous appréciez notre travail ?

Contribuez à faire vivre un journalisme européen et multilingue, libre d’accès et sans publicité. Votre don, ponctuel ou mensuel, garantit l’indépendance de notre rédaction. Merci !

Lire plus sur le même sujet

Média, entreprise ou organisation: découvrez notre offre de services éditoriaux sur-mesure et de traduction multilingue.

Soutenez un journalisme qui ne s’arrête pas aux frontières

Faites un don pour renforcer notre indépendance