L'homme d'affaires Fidel Pallerols et deux membres du parti Unió Democrática (membre de la coalition régionale dirigée par CiU), condamnés pour financement illégal du parti et détournement de fonds, devront aller en prison.
Le 6 mars, le tribunal de Barcelone a rejeté un accord conclu en janvier entre l’accusation et la défense pour une condamnation de moins de deux ans. Selon la loi espagnole, cela permettait aux accusés d’éviter la prison. Le juge a expliqué qu’il veut "intimider les citoyens et les politiciens" tentés par la corruption.
Selon un sondage du Centre de recherches sociologiques (CIS), la corruption est aujourd’hui le deuxième souci des Espagnols, derrière le chômage.
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Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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