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"La faculté de droit transformée en bidonville", constate To Ethnos. Le 23 janvier, 250 migrants afghans aidés par quelques étudiants de gauche ont investi les amphithéâtres de l’Université d’Athènes pour protester contre la lenteur des procédures d’asile appliquées par le gouvernement grec. Certains sont malades et demandent des soins médicaux, et la plupart d’entre eux ont entamé une grève de la faim, explique le quotidien, qui précise que "la plupart ont un emploi en Grèce. Ils n’expriment pas leur mécontentement envers leurs conditions de travail, mais envers leur statut de résident dans le pays."
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