Ce 2 octobre, le Parlement italien a voté la confiance au gouvernement lors d'un vote demandé par le président du Conseil Enrico Letta. Les élus du Peuple de la liberté (PDL), le parti de Silvio Berlusconi, n'ont pas suivi ce dernier, qui avait demandé à ses ministres de démissionner du gouvernement et avait annoncé la veille qu'il n'allait pas voter la confiance.
Face au risque d'un éclatement du PDL, Berlusconi a fini par changer d'avis et par voter, lui aussi, la confiance. Un revirement qualifié de "réddition", voire de "débâcle" par la presse italienne.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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