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Le 23 septembre, "le ministre de la Protection civile, Nikos Dendias, a exigé une enquête sur les liens entre policiers et membres [du parti] Aube dorée", après le meurtre d’un chanteur de rap par un sympathisant du parti d’extrême droite, rapporte Ta Nea.
Ce même 23 septembre, l'inspecteur général de la police pour le sud de la Grèce et le directeur général de la police pour le centre de la Grèce ont démissionné en raison de leurs liens avec le parti d'extrême droite.
Le quotidien ajoute que plusieurs policiers de l’île d’Eubée (centre) ont par ailleurs été suspendus pour ne pas avoir mené d’enquête sur la section régionale d’Aube dorée, dont les locaux côtoient le commissariat local et où le parti aurait caché des armes. "Un fiasco dans les rangs de la police", note le journal.
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