Près de deux semaines après le Conseil européen des 28 et 29 juin, l'effet positif des mesures adoptées prises par les dirigeants de la zone euro semble avoir disparu. L'Espagne et l'Italie continuent de payer des taux d'intérêts élevés sur leur dette, car les modalités de l'aide directe aux banques et de rachat de dette ne sont toujours pas définies. L'attente de la décision de la Cour constitutionnelle allemande sur le Mécanisme européen de stabilité, en particulier, retarde toutes les négociations.

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