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Moins d’un an après la chute du précédent gouvernement sur le renouvellement manqué de la mission militaire néerlandaise en Afghanistan, les Pays-Bas s’apprêtent à y faire leur retour. "L’élaboration d’un compromis a commencé", titre à ce sujet Trouw, après que le Premier ministre libéral Mark Rutte a accepté les conditions posées par les partis de la "petite opposition de gauche" (Verts, libéraux de gauche et chrétiens-sociaux) pour l’envoi d’une nouvelle mission. Le gouvernement de droite n’a en effet pas la majorité sur ce projet qui est contesté par ses alliés populistes (PVV). L’opposition de gauche exige que la mission (545 personnes pour une duréée de trois ans) n’ait pas de caractère militaire et qu’en plus de former les policiers et les soldats afghans, "une place importante soit faite à l’alphabétisation, les droits de l’homme et la connaissance du droit",explique le quotidien. Reste l’écueil du financement de la mission : le gouvernement souhaite qu’il soit prélevé sur le budget de l’aide humanitaire, l’opposition sur celui de la défense.

Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.

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