Sous pression pour faire appel au Fonds européen de stabilisation financière (FESF), afin que celui-ci rachète de la dette espagnole et fasse baisser ses taux d'intérêt dangereusement élevés, le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy (à gauche) cherche à gagner du temps. En Italie, son homologue Mario Monti (à droite), confronté au même problème, répète que son pays n'aura pas recours au FESF.

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Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.

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