"Divorçons à l’italienne, mon chéri“, titre Mladá fronta DNES après que la Commission européenne a proposé, le 24 mars, une réglementation pour faciliter "le divorce international“. Selon cette loi, les couples transnationaux pourront bientôt choisir le pays dont la juridiction s’appliquera pour leur divorce, à condition que l’un des conjoints ait des liens avec ce pays. "Chaque année, quelque 300 000 couples transnationaux se disent 'oui' et, à peu prés la moitié, divorcent", note le quotidien tchèque. La proposition représente une "coopération renforcée“ dans la procédure de divorce, réclamée par dix Etats (l’Autriche, la Bulgarie, la France, la Grèce, la Hongrie,l’Italie, le Luxembourg, la Roumanie et la Slovénie) confrontés régulièrement à des demandes de divorces transnationaux.
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