Après Ceauşescu, Iliescu, Constantinescu et Băsescu, c’est le tour de Klaus Iohannis, écrit en Une le quotidien bucarestois Le nouveau président roumain, issu de la minorité saxonne de la Transylvanie, a prêté serment le 21 décembre et il est devenu officiellement le successeur de Traian Băsescu, après deux mandats consécutifs de ce dernier.
Dans son discours d’investiture, il a annoncé aux partis politiques qu’il les invite au Palais présidentiel Cotroceni pour des consultations en vue d’un “projet national”, et a souligné le besoin d’une Roumanie libérée de la corruption. Quant à la politique étrangère, il a précisé que la Roumanie poursuivra le long de ses trois grands axes : le partenariat stratégique avec les Etats-Unis et l’appartenance à l’OTAN et l’UE. Selon Adevărul
le message du nouveau président de la Roumanie s’est axé autour de l’idée de changer les mentalités – quelque chose qui a toujours constitué un handicap de la classe politique du pays.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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