Après Ceauşescu, Iliescu, Constantinescu et Băsescu, c’est le tour de Klaus Iohannis, écrit en Une le quotidien bucarestois Le nouveau président roumain, issu de la minorité saxonne de la Transylvanie, a prêté serment le 21 décembre et il est devenu officiellement le successeur de Traian Băsescu, après deux mandats consécutifs de ce dernier.
Dans son discours d’investiture, il a annoncé aux partis politiques qu’il les invite au Palais présidentiel Cotroceni pour des consultations en vue d’un “projet national”, et a souligné le besoin d’une Roumanie libérée de la corruption. Quant à la politique étrangère, il a précisé que la Roumanie poursuivra le long de ses trois grands axes : le partenariat stratégique avec les Etats-Unis et l’appartenance à l’OTAN et l’UE. Selon Adevărul
le message du nouveau président de la Roumanie s’est axé autour de l’idée de changer les mentalités – quelque chose qui a toujours constitué un handicap de la classe politique du pays.