Afin d'éviter une enquête sur d'éventuelles violations des règles anti-concentration en Europe, "Facebook a demandé aux responsables du respect de la concurrence de l'UE d'examiner l'accord d'une valeur de 19 milliards de dollars [13,9 milliards d'euros] portant sur le rachat de WhatsApp", rapporte le Wall Street Journal Europe. Le quotidien ajoute que
L'initiative est inattendue, car l'accord a été approuvé aux Etats-Unis et on ne s'attendait pas à ce qu'il soit examiné par la Commission européenne, l'autorité anti-concentration centrale de l'UE. Mais, face à de potentielles enquêtes de la part de certaines autorités anti-concentration nationales européennes, Facebook préfère un audit unique qui le couvrirait dans les 28 pays membres.