Le 27 novembre, le Sénat a voté la déchéance de Silvio Berlusconi de son siège de sénateur, en raison de sa condamnation définitive pour évasion fiscale, en août dernier, rapporte La Stampa.
Le “Cavaliere”, qui tenait un meeting au moment du vote, a déclaré qu’il s’agissait d’“un jour noir pour la démocratie” et qu’il continuerait de “se battre pour la démocratie” en dehors du Parlement, ajoute le quotidien.
Egalement privé de son immunité parlementaire, l’ancien Premier ministre pourrait être arrêté dans le cadre des procès et des enquêtes dont il est l’objet : une condamnation en première instance pour induction à la prostitution, un procès pour corruption de sénateur et un autre pour corruption de témoin.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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