Londres abandonne ses projets d’attaques militaires contre le régime syrien après que, le 29 août, les députés ont voté contre la motion gouvernementale qui défendait le principe d'une intervention en réponse aux lourds soupçons d'usage d'armes chimiques par Damas.
Cette défaite surprise marque la première fois en 150 ans que le Parlement bloque une action militaire gouvernementale.
Le Daily Telegraph note que cela "souligne la méfiance profonde des services de renseignement héritée de la guerre en Irak".
Le Premier ministre David Cameron, aux côtés du président américain Barack Obama, a été l’un des principaux partisan d’une action militaire en représailles à l’attaque chimique présumée du 21 août.
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