Les hésitations d’Angela Merkel sur la question d’une intervention militaire en Syrie deviennent un sujet de la campagne pour les législatives allemandes du 22 septembre.
Le 6 septembre, lors du G20 de Saint-Pétersbourg, la chancelière a refusé de signer avec dix de ses homologues une résolution demandant "une réponse internationale forte" aux attaques chimiques attribuées au régime de Bachar El-Assad. Elle a finalement signé le document le lendemain à Vilnius, lors du sommet des ministres des Affaires étrangères de l’UE.
A deux semaines du scrutin, les sociaux-démocrates "ont reproché un échec dipomatique au gouvernement allemand", intervention militaire en Libye au Conseil de sécurité des Nations Unies.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
Voir l’évènement