Des extraits du discours reporté du Premier ministre britannique au sujet de la place de la Grande-Bretagne en Europe avaient été la prise d’otages en Algérie. David Cameron devait revenir sur les trois défis qui s’imposent à l’Union européenne : la crise de la zone euro, la compétitivité dans une économie globalisée et sa popularité. Il considère qu’
il y a un fossé grandissant entre l’UE et ses citoyens qui illustre un manque de responsabilité démocratique et que oui, il est particulièrement marqué en Grande-Bretagne. […] Je veux que l’Union européenne soit un succès et je veux que mon pays reste dans l’UE. […] Il ya toujours des voix pour demander de ne pas poser les questions qui fâchent. Mais il est essentiel pour l’Europe – et pour la Grande-Bretagne – que nous le fassions. […] Il y a une frustration grandissante de voir l’UE comme quelque chose qui est faite pour les gens plutôt que comme quelque chose qui agit en leur nom. »
The Independent ajoute que le Premier ministre évoque l’organisation d’un référendum sur l’appartenance de la Grande-Bretgane à l’UE après les élections générales de 2015, même si cet extrait n’a pas été communiqué à la presse.
Cet article vous intéresse ?
Il est en accès libre grâce au soutien de notre communauté. Publier et traduire nos articles à un coût. Pour continuer à vous informer en toute indépendance, nous avons besoin de votre soutien.
Vous avez eu accès à l’intégralité de cet article.
Vous voulez soutenir notre travail ? Voxeurop dépend des abonnements et des dons de son lectorat.
Découvrez nos offres à partir de 6 € par mois et les avantages réservés à nos abonné(e)s.
Je m’abonne
Ou faites un don pour renforcer notre indépendance.
Je fais un don
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
Voir l’évènement