"Surveillance accrue", titre le Svenka Dagbladet, après l’attentat à la bombe qui a provoqué un mort — le kamikaze présumé — le 11 décembre en plein centre de Stockholm. "Ce n´est pas la première fois que [le pays est] victime de violence politique", écrit le journal qui rappelle que depuis 20 ans, "un Premier ministre et une ministre des Affaires étrangeres ont été assassinés" et que "des extrémistes de toutes sortes de convictions ont attaqué la société suédoise. La liste est longue". Toutefois, écrit le Svenska Dagbladet, "on n’a jamais vu ce genre de violence, planifiée pour causer un maximum de victimes chez les personnes en train de faire leurs courses de Noël". Alors que l’enquête se concentre sur la personnalité du terroriste, un Irakien de 28 ans qui avait étudié à l’Université du Bedfordshire, au Royaume-Ui, les autorités suédoises multiplient les appels au calme et à la tolérance, précise le Dagens Nyheter. Et Svenska Dagbladet, qui évoque la détermination des Londoniens à ne pas paniquer après les attentats de juillet 2005, invite les Suédois "à ne pas céder à la tentation de l’islamophobie".
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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