"Tel pays, tel WikiLeaks !" titreRevista 22, alors que des câbles diplomatiques américains sur la Roumanie sont publiés depuis le début de la semaine dans la presse roumaine. Entre "le feuilleton Mircea Geoana", le chef du Parti social-démocrate (PSD), l'actuel président du Sénat, qui prétend être "le meilleur homme politique" du pays et qui "utilise l’avion d’un magnat roumain pour se rendre à Moscou", et les dossiers qui attestent de la corruption du sénateur Adrian Nastase (PSD), ce véritable "cablegate de la Dâmboviţa" (rivière qui traverse Bucarest) offre "une photographie brute et laisse un goût amer", affirme l’hebdomadaire roumain. "Quelle faune, quelle bêtise, quelle corruption ! La vraie Roumanie est un Etat que se sont partagés quelques oligarques qui contrôlent les finances et les médias, et des hommes politiques pour lesquels l’intérêt national ne sert que de monnaie d’échange !".
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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