La Commission européenne a déposé une communication des griefs contre Google le 15 avril, "faisant valoir que l’entreprise avait abusé de sa position dominante sur les marchés des services de recherche générale sur Internet […] en favorisant systématiquement son propre comparateur de prix dans ses pages de résultats de recherche générale".

La commissaire à la Concurrence Margrethe Vestager a affirmé que Google a dix semaines pour répondre. La firme américaine "est en profond désaccord" avec les accusations. "Mme Vestager a également révélé qu'elle a lancé une enquête pour savoir si la manière dont les applications et les services natifs de son système opérationnel Android sont intégrés est inique", rapporte BBC, selon laquelle "Google pourrait devoir payer d'importantes pénalités et se voir imposer de redéfinir son modèle en Europe en raison des griefs".

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