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Après avoir été réélu à la présidence de la République italienne le 20 avril, Giorgio Napolitano devrait approuver la formation d’un nouveau gouvernement dès aujourd’hui.
Le Parti démocrate (PD, centre-gauche) et le Peuple de la liberté (PdL) de Silvio Berlusconi sont contraints de travailler à nouveau ensemble, après avoir soutenu le gouvernement “technocratique” de Mario Monti. Ils négocient pour savoir qui sera à la tête de ce gouvernement.
Suite au véto exprimé par Berlusconi sur la candidature du maire de Florence, et probable prochain dirigeant du PD, Matteo Renzi, l’ancien Premier ministre, Giuliano Amato, 75 ans, était considéré comme le favori. Mais le soutien à l’égard d’Enrico Letta, le vice-secrétaire du PD, est croissant.
Pour Il Corriere, le nouveau gouvernement ne devrait en tout cas pas compter plus de 12 ministres, les postes clés devraient être confiés à des personnalités indépendantes, et il est très probable qu’il ne dure pas plus d’un an.

Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.

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