Dans la nuit du 6 au 7 novembre, une centaine de policiers anti-émeute la fermer. Depuis lors, les journalistes assuraient des bulletins d'information et des débats politiques sur Internet et étaient présents sur les réseaux sociaux.
"Certains confrères d'ERT continuent d'émettre sur Internet après leur évacuation, depuis la rue et face aux policiers anti-émeute", rapporte I Kathimerini.
Pour sa part, le gouvernement, qui doit lancer prochainement NERIT, un nouvel audiovisuel public, semble bien décidé à aller au bout, et cela à quelques semaines du début de la présidence tournante grecque de l'Union européenne, le 1er janvier.

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