Le 10 Novembre, le Premier ministre britannique David Cameron a référendum qu'il compte organiser sur la permanence de son pays dans l'Union. Cameron a listé quatre objectifs : la protection du marché unique pour le Royaume-Uni et les autres pays qui ne partagent pas l'euro ; un renfort de la compétitivité à travers une réduction des contraintes administratives ; l'exemption pour le Royaume-Uni de la clause d'"une union sans cesse plus étroite" et le renforcement des Parlements nationaux et la restriction de l'accès à la protection sociale et aux crédits d'impôts pour les migrants provenant de l'Union.
Cette carte, réalisée par le think tank britannique Open Europe, indique à quel degré les autres pays membres pourraient soutenir les demandes britanniques : vert foncé indique qu'ils vont "très probablement" les soutenir ; vert clair qu'ils "partagent les demandes britanniques mais ne devraient pas les soutenir de manière inconditionnelle" ; jaune, que leur "position n'est pas claire ou qu'ils ont 50 % de chances de soutenir les demandes britanniques" et rose qu'ils ont "des réserves sur les demandes britanniques".
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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