"Le Brésil est disposé à acheter de la dette portugaise", titre Público, dans la foulée de la visite de la présidente brésilienne Dilma Rousseff dans le pays en proie à des difficultés économiques. Quand des journalistes lui ont demandé si le Brésil avait l'intention d'acheter de la dette nationale portugaise, Rousseff a répondu que "le Brésil allait tout faire pour aider". Mais elle a aussi nié toute demande officielle d’aide de la part du gouvernement sortant portugais. Standard & Poor's a de nouveau baissé la notation du crédit du Portugal à BBB-, et les taux d'intérêt sur la dette nationale ont atteint des niveaux record à 9,04% sur les obligations à cinq ans et à 8,023% pour les obligations à dix ans.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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