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"L’Occident est-il fini ?", s’interroge Courrier internationalen une de son dernier hors-série. Avec l’économie américaine talonnée par l’Asie, une Europe de plus en plus effacée sur la scène internationale et des pays "émergents" devenus "conquérants", le déclin occidental est désormais palpable tant sur le plan économique que politique, écrit le magazine. "Sans s’affliger ni jouer les Cassandre", l’hebdomadaire tente de comprendre les enjeux d’une nouvelle donne internationale, d’un "tournant" qui pour certains signifie la *"dissémination des valeurs de l’Occident dans le monde"*.
Tandis que d'autres, bien moins optimistes, à l'instar de Wprost, y voient la fin de la civilisation occidentale. Ainsi pour l'hebdomadaire polonais les hésitations des Européens et des Américains face à la situation en Libye "prouvent que l'Occident a renoncé spontanément au leadership. Et sa place est prise par d’autres. L’Iran, la Chine et la Russie font déjà la queue. (...) et l’Occident n’est plus en mesure de se porter en défenseur de la démocratie, ni de faire peur à quiconque de façon crédible".
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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