La communauté Voxeurop A lire dans la presse

Le départ des travailleurs qualifiés

Publié le 16 février 2012 à 16:20

Courrier international consacre cette semaine sa une à un nouveau type de migration : celle des travailleurs européens qualifiés vers des pays épargnés par la crise.

Le phénomène serait en pleine accélération : des dizaines de milliers d’Européens ont dernièrement tenter leur chance ailleurs. Grecs, Espagnols et Portugais ont été les premiers sur la route nous explique le Corriere della Sera. Ils partent en direction de pays plus ou moins épargnés par la crise : l’Allemagne "le nouvel eldorado" des travailleurs qualifiés selon Stern, mais aussi le Royaume-Uni, ou encore l’Australie, "la seconde patrie des Irlandais" d'aprèsThe Age.

L'Amérique latine figure en bonne position des terres d'accueil : 50 000 Portugais sont arrivés l’année dernière au Brésil d’après les informations de Carta Capital et l'Uruguay, note El Observador, met en œuvre une politique favorable à l'accueil des travailleurs qualifiés étrangers. La Suisse, la Suède ou encore la Norvège font également partie des destinations prisées.

Cette immigration économique semble réussir aux plus qualifiés. Pour les autres, les fortunes sont bien plus incertaines. En témoigne l'exemple des Espagnols de Bergen cité dans le reportage d’El Pais publié sur Presseuropqui, pour leur part, n'ont pas trouvé l'herbe plus verte sur les fjords norvégiens.

Le meilleur du journalisme européen dans votre boîte mail chaque jeudi

Vous avez eu accès à l’intégralité de cet article.

Vous voulez soutenir notre travail ? Voxeurop dépend des abonnements et des dons de son lectorat.

Découvrez nos offres à partir de 6 € par mois et les avantages réservés à nos abonné(e)s.
Je m’abonne

Ou faites un don pour renforcer notre indépendance.
Je fais un don

Média, entreprise ou organisation: découvrez notre offre de services éditoriaux sur-mesure et de traduction multilingue.

Soutenez un journalisme qui ne s’arrête pas aux frontières

Bénéficiez de nos offres d'abonnement, ou faites un don pour renforcer notre indépendance