Trois semaines après l’abandon du projet de drône de surveillance Euro Hawk, le ministre de la Défense allemand Thomas de Maizière rejette toute responsabilité pour cet échec qui a couté 500 millions d’euro à l’Allemagne :
Dans un rapport publié le 5 juin, il reconnaît qu’il ne s’est “pas suffisamment impliqué dans cette affaire” mais pointe du doigt ses secrétaires d’Etat et ses prédécesseurs.
“Je n’y peux rien, c’étaient les autres — quel hurluberlu”, ironise Die Tageszeitung, sur un montage détourné la célebre scène de La mort aux trousses d’Alfred Hitchcock.
Cet article vous intéresse ?
Il est en accès libre grâce au soutien de notre communauté. Publier et traduire nos articles à un coût. Pour continuer à vous informer en toute indépendance, nous avons besoin de votre soutien.
Vous avez eu accès à l’intégralité de cet article.
Vous voulez soutenir notre travail ? Voxeurop dépend des abonnements et des dons de son lectorat.
Découvrez nos offres à partir de 6 € par mois et les avantages réservés à nos abonné(e)s.
Je m’abonne
Ou faites un don pour renforcer notre indépendance.
Je fais un don
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
Voir l’évènement