Le débat sur la coopération bancaire automatique ouvre une brêche dans la principauté : après la Suisse et le Luxembourg, le Liechtenstein ne considère plus comme taboue la levée du secret bancaire. Ainsi, note Volksblatt,
au Liechtenstein aussi, la politique et la finance ne refusent plus catégoriquement l’échange de certaines données […] même si ce n’est pas la solution souhaitée.
Le chef du gouvernement Adrian Hasler a ainsi déclaré que
même si le Liechtenstein reste critique par rapport à l’échange automatique de données, [la principauté] ne voudrait pas se fermer contre des possibles solutions à condition qu’elles soient consolidées par des traités bilatéraux solides.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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