La Commission européenne a annoncé le 20 août qu’elle accèderait à la demande du gouvernement espagnol d’enquêter sur la décision de Gibraltar de couler des blocs de ciment dans une zone maritime disputée, ainsi que sur le blanchiment d’argent et la contrebande sur le Rocher, rapporte ABC.
"Enfin, l’UE s’occupe de Gibraltar", note ABC dans son éditorial, ajoutant que l’UE
est en train de trouver une solution pour satisfaire Londres et Madrid, prenant en compte le fait que les deux gouvernements partagent des intérêts beaucoup plus importants. [...] Le rôle de la Commission dans l’affaire de Gibraltar a une portée limitée, parce que l’UE ne dispose pas de l’autorité nécessaire pour régler le principal enjeu de la souveraineté, mais elle peut peser sur la fiscalité et l’environnement.
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