Le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine voient leur activité économique baisser et les entreprises européennes pourraient en payer le prix, met en garde Berlingske.
"Si le ralentissement économique s’aggrave, cela peut nuire à l’export et coûter des emplois", estime le quotidien, qui cite Allan von Mehren, de la Danske Bank :
On a surinvesti dans ces pays, car les attentes vis-à-vis de leurs croissance ont été absolument trop grandes. Aujourd’hui, l’argent est en train d’en ressortir.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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