“La mafia bulgare blanchit son argent via les casinos, les bars et la revente de voitures”
Bruxelles bien trop optimiste sur la reprise
Les djihadistes s’unissent et pourraient viser l’Europe
“Londres accuse le coup”
“Berlusconi ne torpille pas le gouvernement”
“Le Bundestag allemand demande le blocage de la Croatie”
“La France contre Mercedes, l’étonnant bras de fer de l’été”
“Les Pays-Bas s’enlisent petit à petit”
“Que la raison prévale”
Le 1er août, et ce pour la première fois, l’ancien Premier ministre a été définitivement condamné pour fraude fiscale. Il pourrait toutefois ne pas être interdit d’exercer une fonction publique, ce qui conduit la presse italienne à se demander jusqu’à quand son sort personnel continuera de peser sur la vie politique italienne.
Mauvaises affaires pour la démocratie
Le jour où l’Italien Silvio Berlusconi était condamné pour fraude fiscale, l’Espagnol Mariano Rajoy s’expliquait devant le Parlement sur des soupçons de primes illégales. Cette coïncidence souligne à quel point les “affaires” empoisonnent la vie politique du continent. Au risque de détruire la confiance en la démocratie.
 
           
                       
                       
               
              