Le 18 novembre, un homme armé d’un fusil à pompe a grièvement blessé un assistant photographe dans le hall du journal Libération à Paris, avant de se rendre dans le quartier d’affaires de la Défense, où il a tiré sur le siège de la Société Générale. Il a alors pris un automobiliste en otage, le contraignant à l'emmener jusqu'aux Champs-Elysées, où la police a perdu sa trace, rapporte Libération.
Cet homme, dont la police affirme qu’il est isolé, était toujours en fuite le 19 novembre. Il aurait également menacé un rédacteur en chef de BFMTV, au siège de la chaîne d'information, le 15 novembre.
Dans un éditorial intitulé, "Nous continuerons", le directeur de Libération affirme :
Faire feu dans un journal, c’est attenter à la vie d’hommes et de femmes qui ne font que leur métier. Et à une idée, un ensemble de valeurs qui, chez nous, s’appellent République. Ce ne sont pas là de grands mots mais des évidences qu’il faut malheureusement rappeler en France, en 2013.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
Voir l’évènement