Selon le dernier rapport du Bureau pour les stupéfiants internationaux du département d'Etat américain, la criminalité organisée bulgare investit dans tous les secteurs de l’économie en vue de blanchir l'argent obtenu de ses activités illicites, comme le trafic de drogue, la prostitution, la contrebande de cigarettes, la revente de voitures volées ou la fraude fiscale.
Sega explique que
les raisons pour lesquelles la Bulgarie continue d’agir comme un aimant pour les capitaux douteux tiennent à la croissance de son secteur financier, à l’importance du secteur économique informel et à la proportion élevée de paiement en liquide.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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