Lors d'une réunion le 17 juin, les chefs des partis de la coalition au pouvoir, soit Evangelos Venizelos (Pasok, socialiste), Fotis Kouvelis (Dimar, Gauche démocratique), et le Premier ministre Antonis Samaras (Nouvelle démocratie, centre-droit), ne sont pas parvenus à un accord, au sujet de la chaine publique ERT, fermée d’autorité le 11 juin.
Ce même jour, le Conseil d’Etat a partiellement accueilli un recours des salariés d’ERT contre la fermeture, en ordonnant sa réouverture “temporaire” sur la base d’un service minimum, jusqu’à la constitution d’un nouvel organisme audiovisuel public — Nerit — tout en reconnaissant au gouvernement le droit de la fermer. Le tribunal suprême administratif se prononcera sur le fond en septembre.
Les leaders de la coalition tripartite divergeant quant à l'interprétation de la décision du Conseil d’Etat, ils se sont à nouveau donné rendez-vous mercredi 19 juin, note I Kathimerini.
Cet article vous intéresse ?
Il est en accès libre grâce au soutien de notre communauté. Publier et traduire nos articles à un coût. Pour continuer à vous informer en toute indépendance, nous avons besoin de votre soutien.
Vous avez eu accès à l’intégralité de cet article.
Vous voulez soutenir notre travail ? Voxeurop dépend des abonnements et des dons de son lectorat.
Découvrez nos offres à partir de 6 € par mois et les avantages réservés à nos abonné(e)s.
Je m’abonne
Ou faites un don pour renforcer notre indépendance.
Je fais un don
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
Voir l’évènement