Les critiques initiales contre l’intervention de l’armée algérienne pour mettre fin à la prise d’otages à In Amenas “semblent s’être tues parce qu’aucun pays n’est prêt à risquer sa relation avec l’Algérie pour une poignée d’otages”, estime le quotidien.
Seul le Japon a ouvertement critiqué l’Algérie. Mais, rappelle Trouw, la France utilise l’espace aérien algérien pour mener la guerre au Mali, Obama a besoin d’Alger dans la lutte contre le terrorisme et, de manière générale, la plupart des pays dont des ressortissants étaient otages ont d’importants intérêts pétroliers et gaziers.
Depuis les années 1980 et la financiarisation de l’économie, les acteurs de la finance nous ont appris que toute faille dans la loi cache une opportunité de gain à court terme. Les journalistes récompensés Stefano Valentino et Giorgio Michalopoulos décortiquent pour Voxeurop les dessous de la finance verte.
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